the album pour télérama
Publié : 26 juin 2004 11:44
c'est encore avec un retard considérable que j'ai trouvé cet article... désolée pour cette arrivée tardive ... slowdown tel est mon nom !
Critique Télérama 26 mai 2004
"graham coxon - FFFF-
qui aurait pu penser, à l'apparition de blur, que 14 riches années plus tard, les productions des membres du quatuor anglais tiendraient toujours le haut de l'affiche ? qui aurait pu prédire que le groupe de baggy-rock endiablé, allégé de son guitariste graham coxon, serait un jour capable de publier un si brilliant sixième album - think tank, l'an dernier - tranchant courageusemetn avec son oeuvre antérieure ?
Surtout qui aurait pu prévoir que ledit guitariste serait capable de relever le défi en sortant à son tour un épatant condensé d'énergie rock ?
Voici 2 ans que Coxon a claqué la porte de blur, soulagé de ne plus appartenir à l'un des plus populaires groupes de Grande-Bretagne. Heureux dit-il aussi, d'enfin tout contrôler.... Déjà ce soliste récalcitrant avait publié quelques brouillons de rock total (guitares cramées, voix saturées) avant d'oser le tableau de ses rêves : ce HAPPINESS IN MAGAZINES où les guitares chantent finalement plus que sa voix d'ado éternel. C'est d'ailleurs la qualité la plus saisissante de ces douze chansons : elles se vautrent sans réserve dans des parties de plaisir dirigées par la 6 cordes gourmande de Coxon, nouveau roi du batifolage électrique.
Blur a toujours été un grand groupe de singles ; Coxon prouve qu'il peut aussi tenir l'audituer en alerte pendant tout un album.
Les jeunes adeptes des White Stripes et des Von Bondies vont adorer ça ; leurs papas et mamans élevés aux Who et à Lep Zep, presque autant"....
et voilà....
Critique Télérama 26 mai 2004
"graham coxon - FFFF-
qui aurait pu penser, à l'apparition de blur, que 14 riches années plus tard, les productions des membres du quatuor anglais tiendraient toujours le haut de l'affiche ? qui aurait pu prédire que le groupe de baggy-rock endiablé, allégé de son guitariste graham coxon, serait un jour capable de publier un si brilliant sixième album - think tank, l'an dernier - tranchant courageusemetn avec son oeuvre antérieure ?
Surtout qui aurait pu prévoir que ledit guitariste serait capable de relever le défi en sortant à son tour un épatant condensé d'énergie rock ?
Voici 2 ans que Coxon a claqué la porte de blur, soulagé de ne plus appartenir à l'un des plus populaires groupes de Grande-Bretagne. Heureux dit-il aussi, d'enfin tout contrôler.... Déjà ce soliste récalcitrant avait publié quelques brouillons de rock total (guitares cramées, voix saturées) avant d'oser le tableau de ses rêves : ce HAPPINESS IN MAGAZINES où les guitares chantent finalement plus que sa voix d'ado éternel. C'est d'ailleurs la qualité la plus saisissante de ces douze chansons : elles se vautrent sans réserve dans des parties de plaisir dirigées par la 6 cordes gourmande de Coxon, nouveau roi du batifolage électrique.
Blur a toujours été un grand groupe de singles ; Coxon prouve qu'il peut aussi tenir l'audituer en alerte pendant tout un album.
Les jeunes adeptes des White Stripes et des Von Bondies vont adorer ça ; leurs papas et mamans élevés aux Who et à Lep Zep, presque autant"....
et voilà....