Sortie du nouveau Blur!
Publié : 21 août 2007 01:19
Août 2010.
Ca fait bientôt trois ans que les médias britanniques nous bassinent avec la future reformation de Blur, mais toujours rien à l’horizon…
En effet Damon Albarn sous le couvert de trois nouvelles formations aux projets les plus rocambolesques dont quatre millions d’albums par tête de pipe, est devenu à son tour porte-parole contre la faim dans le monde, exprès pour faire chier Bono.
Alex James las d’appeler en masqué les différentes rédactions de journaux pour répandre des news bidons vit désormais avec des chèvres et des vaches nu dans la foret. Pu tain de hippie…
Graham Coxon ne s’étant jamais pointer en studio dû à une colique jamais endigué après avoir passé 10 ans à boire n’est jamais sortit de chez lui et à sortit un nouvel album « i love you baby, why don’t you love me », acclamé par la critique de son propre forum, il est devenu imbattable au démineur sur msn.
Dave Rowntree lui après 10 défaites dans la plupart des cantons de la région londonienne, brigue un mandat de consultant à la voirie dans l’east london.
EMI possédant encore un contrat pour un prochain album de Blur, lassé vend ledit contrat à la jeune boite de production "fuck me i’m indie ", notamment célèbre pour avoir publié un coffrets de raretés des Spice girls circa 95-96, et réputé dans la distribution de programmes de charmes(de qualité) Allemand.
L’idée fourmille dans ces jeunes entrepreneurs de médias branchés, ils sortiront un énième album via la publication des meilleures faces b de Blur.
Apres moult tergiversations(fallait-il inclure When the cows come home) livre cette liste définitive mais forcément controversée chez les fans.
En exclusivité la tracklist :
1. Garden central : intro faramineuse, descente aux enfers avec ou sans acides, psyché et incandescente.
2. No monsters in me : D’emblée on enchaîne et ça rigole plus, véritable échappée post punk Kinksienne, le morceau ne peut faire mouche que si l’on est sourd.
3. The man who left himself : psyché vous avez dit? Yes sir.
4. Ultranol: on remonte d’un cran, fantôme des 80’s, les Specials à l’honneur.
5. Mr Briggs : Londres 1968 à l'amende, mais comment cette chose n’est elle jamais sortit !
6. Tame : le calme avant la tempête, Blur psyché ? Mais on arrête pas de vous le répéter.
7. I’m fine : Blur le meilleur des descendants des Small Faces, sans aucun doute. We are the Mods, we are the mods.
8. Supa Shoppa: on se détend avec ce petit interméde dansant mais festif, mais dans le bon sens du terme, avis aux tocards à dreads munis de chien.
9. Threadneedle street : le voilà le morceau new wave, oui mais encore psyché, au-dessus du panier je vous dis.
10. Woodpigeon song : intermède musical réclamé par Alex James
11. Headist into another : Interméde baggy réclamé par GC himself, allez comprendre.
12. The outsider : on fait plaisir à tout le monde, Dam voulait de la consonnance Africaine, la voici soutenu de main de maitre par une des derniéres apparitions du Coxi.
13. Young and lovely : la voilà la merveille, la perle, le trésor de Blur, la pop anglaise en une chanson.
14. Inertia : déclaration d’amour aux matinées post gueules de bois. Final apocalyptique.
Piste cachée Black book tout est dit.
Ca fait bientôt trois ans que les médias britanniques nous bassinent avec la future reformation de Blur, mais toujours rien à l’horizon…
En effet Damon Albarn sous le couvert de trois nouvelles formations aux projets les plus rocambolesques dont quatre millions d’albums par tête de pipe, est devenu à son tour porte-parole contre la faim dans le monde, exprès pour faire chier Bono.
Alex James las d’appeler en masqué les différentes rédactions de journaux pour répandre des news bidons vit désormais avec des chèvres et des vaches nu dans la foret. Pu tain de hippie…
Graham Coxon ne s’étant jamais pointer en studio dû à une colique jamais endigué après avoir passé 10 ans à boire n’est jamais sortit de chez lui et à sortit un nouvel album « i love you baby, why don’t you love me », acclamé par la critique de son propre forum, il est devenu imbattable au démineur sur msn.
Dave Rowntree lui après 10 défaites dans la plupart des cantons de la région londonienne, brigue un mandat de consultant à la voirie dans l’east london.
EMI possédant encore un contrat pour un prochain album de Blur, lassé vend ledit contrat à la jeune boite de production "fuck me i’m indie ", notamment célèbre pour avoir publié un coffrets de raretés des Spice girls circa 95-96, et réputé dans la distribution de programmes de charmes(de qualité) Allemand.
L’idée fourmille dans ces jeunes entrepreneurs de médias branchés, ils sortiront un énième album via la publication des meilleures faces b de Blur.
Apres moult tergiversations(fallait-il inclure When the cows come home) livre cette liste définitive mais forcément controversée chez les fans.
En exclusivité la tracklist :
1. Garden central : intro faramineuse, descente aux enfers avec ou sans acides, psyché et incandescente.
2. No monsters in me : D’emblée on enchaîne et ça rigole plus, véritable échappée post punk Kinksienne, le morceau ne peut faire mouche que si l’on est sourd.
3. The man who left himself : psyché vous avez dit? Yes sir.
4. Ultranol: on remonte d’un cran, fantôme des 80’s, les Specials à l’honneur.
5. Mr Briggs : Londres 1968 à l'amende, mais comment cette chose n’est elle jamais sortit !
6. Tame : le calme avant la tempête, Blur psyché ? Mais on arrête pas de vous le répéter.
7. I’m fine : Blur le meilleur des descendants des Small Faces, sans aucun doute. We are the Mods, we are the mods.
8. Supa Shoppa: on se détend avec ce petit interméde dansant mais festif, mais dans le bon sens du terme, avis aux tocards à dreads munis de chien.
9. Threadneedle street : le voilà le morceau new wave, oui mais encore psyché, au-dessus du panier je vous dis.
10. Woodpigeon song : intermède musical réclamé par Alex James
11. Headist into another : Interméde baggy réclamé par GC himself, allez comprendre.
12. The outsider : on fait plaisir à tout le monde, Dam voulait de la consonnance Africaine, la voici soutenu de main de maitre par une des derniéres apparitions du Coxi.
13. Young and lovely : la voilà la merveille, la perle, le trésor de Blur, la pop anglaise en une chanson.
14. Inertia : déclaration d’amour aux matinées post gueules de bois. Final apocalyptique.
Piste cachée Black book tout est dit.